Le village de Thiercelieux.

Cela fait 20 ans que je suis née dans ce paisible village. La vie y était facile, chacun s'entraidait et donnait son possible pour que personne ne manque de rien. La majorité des jeunes devenaient des paysans, des vendeurs, des ébénistes et ainsi de suite. Pourtant certains faisaient des métiers moins commun tel que troubadour et certains c'étaient même mis à voler pour assouvir leur soif de cupidité. Je vivais avec ma mère Martine. Etant son unique enfant j'étais choyé, elle faisait tout son possible pour que je ne manque de rien et je lui en était reconnaissant. Je connaissais à peu près tout le monde à Thiercelieux, seul ceux qui viennent d'emménager ici m'étaient inconnu. D'ailleurs il y a peu de temps que quelqu'un à emménager à coté de chez moi, un père et sa fille apparemment.
Va donc leurs souhaiter la bienvenue!" Me dirait ma mère pendant qu'elle faisait le repas, je n'ai pas perdu de temps pour y aller.
En sortant de chez moi je vis leurs bagages être déposés par une grande calèche. M'approchant vers l'homme transportant les boîtes je compris que c'était le père de la nouvelle venue. Marc s’appelait-il.
John. Répondis-je, il s'exclama:
Elise! Vient ici s'il te plaît!
Une jeune femme sorti de la demeure regardant son père pour savoir ce qu'il lui voulait. Elle avait les cheveux blonds qui tombaient sur ses épaules en boucles, un sourire éclatant qui accompagnait sont haut en tissus blanc lui moulant les formes de sa taille et un pantalon qui avait l'air d'avoir été conçu pour elle.
Ce jeune homme est notre voisin, il va te faire le tour de la ville! J'espère que cela ne te dérange pas? Dit-il en se retournant vers moi.
En chemin j’appris qu'elle avait 18 ans. Elle me raconta les moments qu'elle a vécu, les voyages qu'elle avait fait et les sermons que son père tenait à propos de sa mère l'ayant quitter après sa naissance. Le village avait des palissades et une grande porte souvent ouverte. La majorité des champs étaient à l’extérieur du village mais certains avaient leurs plantations derrières chez eux. Je la trouvais vraiment belle... Quand nous avions fini la visite je l'ai raccompagné chez elle. A la porte elle me remercia et l'on est resté un moment à demeurer silencieux. Nous ne voulions pas finir cette soirée là... Quand elle s'en rendit compte elle se dépêcha de me souhaiter bonne nuit et rentra assez vite chez elle. Je me sentais déstabilisé, c'était étrange comme sensation mais j'ai rêvé d'elle, de ses cheveux, de son odeur... étrange mais agréable! Le lendemain ma mère cria du salon pour que je descende le plus vite possible. D'un pas matinal je lui demandais pourquoi elle criait comme sa. Son visage plein de sueur et ses yeux remplient de peur me firent comprendre qu'elle était paniquée. Elle tibuta:
Le maire nous convoque tous à la place principale, quelqu'un à été assassiné!

1: Les villageois doivent trouver les créatures et les tuer avant qu'ils ne se fassent dévorés!

2: Les créatures tuent chaque nuit jusqu'à ce qu'il ne reste plus qu'eux. Si c'est le cas ils gagnent. Ils ne savent pas qu'ils sont des créatures.

3: Certains villageois ont une profession spécial qui leurs permet d'avoir certains pouvoirs :
-Sorcière: Elle possède une potion de vie et de mort. Lorsque les créatures dévorent quelqu'un elle peu utilisé sa potion de vie pour qu'il survive. sa potion de mort peut tuer quelqu'un de son choix. Elle n'a qu'une potion de chaque type.
-Chasseur: A sa mort il peut emmener quelqu'un dans sa tombe.
-Cupidon: La première nuit il forme un couple. Si l'une des deux personnes meurt, l'autre se suicide d'amour. Cupidon peut lui même se mettre en couple.
-Petite fille: Elle peu voir les actes des créatures si elle le souhaite.
-Joueur de flûte: Chaque nuit il envoûte deux personnes excepter lui même. Si le reste des personnes vivantes, qu'elles soient créatures ou villageois n'ont pas tuer le joueur de flûte et qu'ils sont envoûtés/ charmés il gagne.
-Salvateur: Chaque nuit il protège une personne de l'attaque des créatures. Cette personne peu tout de même mourir s'il est en couple (grâce à Cupidon), si la sorcière l'empoisonne ou si le chasseur lui tire dessus. Il ne peut protéger deux fois la même personnes 2 nuits de suite.
-Voyante: Chaque nuit elle peut connaitre le rôle d'une personne.
-Chaman: Chaque nuit il peu entendre les morts durant un court instant. Il ne sais toutefois pas qui lui à parler.
-Simple villageois: aucun pouvoir spécifique.

4: Chaque jour le village doit faire une réunion où ils vont décider de tuer une personne si la majorité le vote.

Dijiridou, je vais déplacé le sujet dans "Jeu de Rôle". La différence entre un jeu de rôle et un écrit, c'est que les jeu de rôle on des Joueurs alors que l'Écrit est une oeuvre réalisé par une seule personne.
J'attend ta confirmation pour changé le sujet de place car je me suis peut-être trompé X)

XD oui c'est un ecrit hahaha. Ils n'y à pas de joueurs c'est juste comme si les gens de mon histoire étaient soumis à un jeu (celui du loup garou). Et donc je créer une histoire qui tourne autour de se thème là, le jeu du loup garou mais en vrai quoi hahaha ^_^

D'accord, pas de problème ^^

1. Théo
2. Alexandre
3. Jacqueline
4. Pierre
5. Jessica.
6. John
7. Élise
8. Olivier X (simple villageois)



Nous nous reunîmes à la place principale du village. Le maire était sur une estrade où il ne cessa de baisser les yeux. Personne ne pouvait se regarder dans les yeux après ce qu'il vient de se passer... quand tout le monde fut réuni il prit la parole.
Mario: Messieurs... Mesdames... ce matin nous avons retrouver Olivier mort près de la palissade...
Des murmures se firent entendre, personne ne pouvait y croire jusqu'à ce que Alexandre,  le fils du maire leva le drap sur lequel gisait le corps inconscient de Olivier. À partir de se moment je n'ai jamais senti un plus grand silence que celui de cet instant... Son corps à été dechirer en deux.
Mario : Nous avons d'abord pensé qu'un animal l'avait attaqué. Mais finalement nous avons dû admettre qu'un animal ne pouvait faire une tel blessure... Il n'y a qu'une solution. On l'a tué! Et il s'avère que quelqu'un se trouvait dans les environs quand on a retrouvé son corps.
Alexandre amena Eliot sur la scene. Il lui mis une cagoule pour dissimuler son visage. Maintenant ils se dirigaient vers la corde... Tout le monde eu un mouvement de recul et de stupeur certains se muraient dans le silence d'autres protestèrent mais le maire ne voulait les entendre. Il n'avait soif que de vengeance que l'on s'en soit pris à l'une de ses brebis. Des cris continuaient de se faire entendre, Élise avait les yeux rivés sur la corde, la bouche entrouverte elle était sous le choque.
Mario: CEUX QUI ENTRAVENT LES REGLES DU VILLAGE DOIVENT ÊTRE COMDAMNÉ À LA PEINE CAPITALE!!!
Aussitôt cela dit les cris se firent de plus en plus forts et soudain... la corde se tendit d'un seul coup... Tout le monde hurlait de peur et de terreur en voyant ceci. Élise se blottisa contre moi en pleurant le plus fort qu'elle pus. Je lui murmura à l'oreille :
John: Rassemble tes affaires et vient chez moi se soir à minuit.
Sur ce je reparti chez moi me changer les idées.

Plusieurs heures sont passés, ma mère m'interdit de sortir pour ne pas qu'il m'arrive malheur. J'attendais qu'elle soit couché pour pouvoir rejoindre Élise se soir. À minuit , par chance, ma mère dormait.
Élise: Que se passe t-il?
John: On s'en va!
Accourant le plus vite possible vers la porte du village j'avais prévu de partir sans que personne ne s'en rende compte. Élise me suivait de prêt,  je ne voulait pas qui lui arrive du mal. J'aurais pus le dire à ma mere... mais elle n'aurait pas accepté. .. elle tient trop à cette ville et à sa vie ici... Nous arrivâmes aux portes. J'ordonna à Élise de m'attendre à quelques mètres de moi pour me dire si quelqu'un venait...
John: ......... Hein?
Les portes ne pouvaient plus s'ouvrir, quelque chose à fais fondre la fente entre les deux portes les reliant ensembles.
Tout à coup j'entendis un bruit dans les herbes à côté de nous... doucement le bruit s'emplifiait jusqu'à ce qu'ils soient tellement repetitifs et rapides que je compris que l'on courait vers nous.
John: ÉLISE! COOUUUURRRRSS!!!
Cette nuit là une personne mourra... pendant qu'elle agonisait elle ecrit une lettre avec son sang . On pouvait clairement y lire la lettre "M"...

John courait vers Elise qui était un peu plus loin, sa maison se trouvait au prochain coin de rue. Elise disparu au bout du virage où John s'appraitait à entrer. Glissant sur la terre humide il entendait le galop des créatures se rapprocher de leur prochain repas. La maison était en vue, Elise reussissait à se réfugier laissant la porte entrouverte au passage de John. Quelques mètres devant lui se tenait sa survie quand soudain un haletement parvint au côté de son oreille. Ce souffle chaud dans son dos lui laissait des sueurs froides. Un grand choc dans son corps lui donna la sensation que son coeur venait de s'écraser ne laissant plus qu'un grand trou dans sa poitrine. Ses genoux touchèrent au sol et bientôt il s'écroula sur le seuil de sa demeure ne voyant que sa mère qui pleurait à la fenêtre en tapant du poing. Croyant son fils mort elle prit un couteau sur l'étagère et se le plantit dans la gorge. Maintenant c'était John qui pleurait. Rassemblant ses dernières forces pour se retourner il ne vit qu'une grande gueule ouverte se rapprochant de sa gorge.

HAAAAAAA!!!! John se reveillait en sursaut. Respirant très fort son premier reflexe était de regarder ses blessures. À part au bandage sur le côté du torse il n'y avait aucune plaie. Il eu un moment de soulagement avant d'être pris de terreur de ne pas voir Élise. Le jeune homme claqua la porte et descendit les marches faillant tomber plusieurs fois. Pénétrant dans la cuisine il cherchait du regard Élise. Elle était là,  au comptoir faisant cuir des oeufs. John tombait dans les pommes. Quand il reprit conscience il vit sa mère sur le bord du lit.

Tu as reinfecter ta plaie imbécile! Mais elle souriait. Elle était heureuse de voir son fils en vie. Elle lui expliqua que hier lui et Elise c'étiez réfugié chez la jeune femme. Sa blessyre était dû au fait qu'il s'était accroché à une tige de métal qui dépassait d'une charette de transport de matériaux. Heuresement, aucune maladie ne l'avait atteind.
Bon aller, il est temps d'y aller. Marc nous attend à la place principale. Il ta soigné hier alors tu le remercieras. Finirait elle.

Durant le chemin John avait la peur au ventre de voir une autre personne mourrir aujourd'hui mais il était soulagé d'être encore en vie. Sa mère était en avant et Elise se tenait près de lui.
Tu as encore mal à ta plaie? M'a-t-elle dit. Je lui repondait qye je ne devrais pas m'en plaindre quand ma mère s'arrêta sec. Elle mis les mains devant sa bouche et elle commençais à trembler. En passant ma tête par dessus son épaule je vis un corps au bout d'une corde. Le père de Elise venait d'être exécuté!
Non... pas lui. John n'y croyais pas. L'homme qui l'avait sauvé venait de mourir. Une voix dans ke troupeau cria des injures au maire sur l'estrade. Il repondit: Rose à été tué par les créatures cette nuit mais par chance elle à laisser un indice qui nous a permis de trouver son assassin!

La jeune Rose âgée de 7 ans était empaler sur une pique à la porte de la ville. Sur ses vêtements elle avait dessiné un M. Une vrai image d'épouvante, une enfant magnifique tachée de sang sur sa robe blanche serrait dans sa main sa peluche.
Il continua: De plus des temoins ont vu sa fille là où Rose est morte. Son père étant une créature et sa présence aux portes ce soir nous prouvent que nous devons la pendre elle aussi!

Sur ces paroles des voix suivaient celle du maire jusqu'aux portes de la maison de Élise mais ils n'y trouvèrent personne. Ils ont continué de chercher dans le village mais elle avait disparu. John et Martine l'avais caché chez eux peu avant que le maire ne parte à sa recherche. Elle pleura toute la nuit...


Il va payer! Marmonna une petite voix dans la cuisine. Martine eu une goutte de larme pendant qu'elle préparait son ragoût.

CHAPITRE 3

Le jour se lève, un oiseau matinal réveilla les jeunes de son chant mélodieux rappelant à tous qu’ils ont de la chance d’être en vie. Élise se leva en s’étirant de tout son corps, les cheveux emmêlés elle s’habillait avant de se les peigner. Ses larmes avaient terni son visage empli de chaleur. Maintenant elle avait l’air malade. Teint blanc, cernes, lèvres dénudées de couleur, rien ne la rapprochait de celle qu’elle était en arrivant ici. Elle mit du maquillage pour cacher ses défauts.
-Ça ira mieux demain ! Se disait-elle ne sachant pas s’il y aura un lendemain pour elle…
En sortant de sa chambre elle retrouvait John et Martine dans le salon. Il faisait tout son possible pour qu’elle se sent chez elle et qu’elle supporte un peu mieux la mort de son père. Cela la réjouissait, la douleur était moins douloureuse à supporter. Martine resta silencieuse, elle n’avait pas l’air d’avoir dormie de la nuit. Tous assis à la table ils mangeaient leurs repas en imaginant la suite des événements.
-OÙ EST-ELLE ??? JE VEUX QU’ON ME LA RAMENE !!! Mario avait l’air furieux peut être même cinglé. Martine, John et Élise arrivèrent prêt à protéger Élise jusqu’à leurs passer sur le corps pour oser y toucher ne serait-ce qu’un cheveu. Mario secoua Tristan, un compagnon de classe de John. Se retournant il apercevait c’elle pour qui son malheur était responsable.
-POURQUOI ??? POURQUOI L’AVOIR TUÉ ??? Cria-t-il pendant qu’il se jetait sur Élise. Pierre se prosterna devant lui, c’était un grand homme à la fois intelligent et corpulent. C’était le forgeron du village et il gérait les demandes du village pour les soumettre au maire pour le conseiller. Il stoppa Mario net et il le sera contre lui pour l’empêcher d’avancer.
-Calme toi tu n’as pas toute ta tête. Lançait-il. Élise et John ne comprenaient pas ce qu’il le rendait si en colère. Tristan allait vers eux en leur lançant qu’il allait leur expliquer plus tard.
-Il faut d’abord se débarrasser de ce fou… Martine s’avançait doucement de Mario toujours sous l’étreinte de Pierre. Elle cria assez fort pour que toute les personnes entendirent :
-Mario, nous avons assez de tes décisions hâtives et personnelles. Tu ne mérites plus d’être le maire de ce village, tu n’as jamais su nous guidez et nous sommes tous des suspects dans cette tragédie. Elle prit une pose avant de continuer.
-C’EST POUR CELA QUE JE LANCE UN VOTE POUR QUE MARIO SOIT PENDU AUJOURD’HUI !
Mario se figea. Il arrêtait de se débattre. La bouche grande ouverte il tomba à genoux. Personne n’osa parler après cette déclaration. Après une longue minute de silence Jessica avançait vers le maire. Regardant Martine elle affirma de la tête : Je te suis. Jessica était la plus vieille branche du village, ses expériences après 45 ans de vie avaient su la guider elle et beaucoup de jeunes qui venaient demander conseil. On avait confiance en elle. Pointant Mario du doigt elle le regardait de haut. Plusieurs mains autour de lui suivirent celle de Jessica. Il ne bougeait pas quand Pierre le transportait sur l’estrade. Il lui enfila la corde autour du cou. Mario grinça des dents.
-Tout mon empire vient de couler…
Tristan allait maintenant vers le levier. Il n’a pas pris la peine de regarder la victime avant de l’exécuter. La corde se tendait… Jessica et Martine poussèrent un soupir de soulagement.
Raccompagnant John et Élise chez eux, Tristan discutait avec son camarade d’école.
-Comment te sens-tu depuis que l’école est fermée et que les villageois se sont enfuis ?
-Je dois avouer que l’école ne me manque pas !
-Hahaha ça s’est sûr ! Rirait Tristan.
-Hey tu ne nous as pas raconter pourquoi Mario était dans cet état aujourd’hui ?
-Ho oui c’est vrai. Son visage s’assombrit. Et bien cette nuit il y a eu deux morts, Benjamin le boucher et Alexandre… le fils du maire…

Joueurs restants :
Théo
Rose X
Alexandre X
Benjamin X
Jacqueline
Marc X
Pierre
Mario X
Jessica
Eliot X
John
Martine
Élise
Tristan
Olivier X


PS: Je fais de la correction de jour en jour alors si la maniere dont c'est ecrit ou si l'interface change c'est normal

Chapitre 4
John ouvrait les yeux, allongé dans son lit il était épanoui. C’était une très bonne nuit, depuis que Mario est mort il se sentait rassurer comme s’il pourrait retrouver une vie à peu près normale. Il tournait sa tête en direction de la fenêtre, une silhouette se dessinait devant lui. Élise dormait à côté de lui, elle avait l’air heureuse, en meilleure santé. Elle devait être rassurer que les soupçons sur elle soient dissipés. Ses magnifiques cheveux blonds dansaient sur son visage et ses yeux clos laisser deviner qu’elle avait fait un beau rêve. Suivant son regard un peu plus loin il remarquait qu’elle dormait paisiblement… en sous-vêtement.
-Hein ? Cela lui pris quelques secondes de réflexion avant de comprendre réellement ce qu’il avait sous les yeux. Ses paupières s’élargissaient et son cœur s’emballait.
-WHOWHOWHOWHO. Cria-t-il en tombant à terre et en agitant les bras. Cela réveillait Élise qui se levait en baillant. Le torse redressé et le reste de son corps sous les couvertures elle se frottait l’œil en regardant John.
-Pourquoi tu cries comme ça ? John était assis à terre, il se retenait sur les coudes avant d’en lever un et de pointer son doigt en direction du corps de la jeune femme. Elle ne comprenait pas bien ce qu’il se passait alors elle baissait les yeux. Son haut blanc en dentelle était bien mis en valeur. Elle aussi écarquillait les paupières avant de rougir et de se cacher sous les couvertures.
-Heuuuuu. Elle avait le visage tellement rouge que l’on pourrait croire qu’elle allait exploser d’un moment à l’autre.
-Désolé mais… pourrais-tu sortir… le temps que je me change… John ne se fit pas patienter avant de s’exécuter. Ils se rappelèrent par la suite que tard durant la nuit Élise était aller voir John dans la chambre d’à côté car elle avait fait un cauchemar. Il accepta de dormir avec elle sans avoir vraiment réfléchit n’y même avoir pris la peine de regarder comment elle était dressée. Ils étaient extenués alors le sens de la raison n’avait pas beaucoup sa place dans leurs têtes. Quand elle descendit dans la salle à manger John tournait sa tête en sa direction. Ils ont rougi et ont changé de direction leurs regards pour ne pas regarder l’autre en face. Martine était à la cuisine, quand elle arriva elle servit un bon repas aux jeunes affamés.
-Maman… Dit moi… que pense tu qu’il va se passer maintenant ?
-Je ne sais pas mon petit… Je ne le sais pas… Elle baissait les yeux en imaginant ce qu’il pourrait se passer…
-Maman… S’il venait à m’arriver quelque chose je tenais à te dire merci pour tout ce que tu as fait pour moi. Merci de m’avoir aidé et soutenu toute ma vie. Martine ne disait rien, elle ne fit que regarder son fils en souriant.
Ils n’étaient plus que 7 survivants dorénavant. Tous sur la place principale personne n’osait parler. Jacqueline tapait du pied à côté des marches de l’estrade.
-Bon quand est-ce qu’on tue quelqu’un ? Lâcha-t-elle. C’était une fille de la classe de John, Tristan était amoureux d’elle et sa se voyait dans son regard. Il n’arrêtait pas de la fixer même quand ils étaient à l’école. Elle le savait bien mais elle ne l’aimait pas, à la place elle se servait de lui pour porter son sac ou aller chercher quelque chose à manger pendant qu’elle draguer un autre gars. John ne l’aimait vraiment pas, se servit d’un de ses amis comme esclave était loin de ses valeurs morales. Il faut dire que même après avoir mis Tristan au courant il continuer de s’accrocher à elle comme s’il avait une chance.
-Tu as raison. Réplica Pierre.
-Nous devons tuer quelqu’un aujourd’hui mais d’abord je tien à vous avertir que Jessica a été retrouvée morte ce matin accroché à une croix devant l’église. Cette vieille branche pourra arrêter de nous faire chier. Pierre esquissa un sourire.
-Tu n’as pas honte de parler d’elle comme sa alors qu’elle est morte ? Dirait Martine se rapprochant de lui. Elle reprit : Tu n’as donc pas de cœur ? Jamais tu n’as osé lui dire ce que tu pensais d’elle en face et maintenant qu’elle n’est plus là pour te remettre à ta place tu lui balance pleins de saloperies pour te venger ?
-Toi aussi tu commences à m’énerver, vous avez tué la seule autorité du village pour nous faire peur et pour empêcher les villageois d’avoir un chef sur qui compter. Il levait son doigt et poursuivait : Voici donc pourquoi tu mérites de mourir, tu as tué le maire pour mieux nous tuer ensuite alors MOI PIERRE, ADJOINT DU MAIRE JE TE TUERAIS EN L’HONNEUR DE NOTRE DÉFIN MAIRE.
Tout le monde étaient stupéfaits mis à part Jacqueline qui commençais à rire et qui elle aussi pointa du doigt la mère à John. Élise intervint.
-Pierre tu es allé trop loin ! Arrête de jouer l’enfant ! Je ne te laisserais pas tuer la personne qui m’a sauvé et qui a pris soin de moi alors que Mario était bien décider à me tuer ! Sur-ce elle visa Pierre du doigt. John ne tardait pas à la suivre quand une silhouette sortie de l’ombre du grand homme.
-Je dois dire qu’il a raison. Théo sortait tout juste son nez. C’était aussi un étudiant mais il était plus vieux que John, Tristan et Jacqueline. C’était un génie, un jeune prodige qui ne fonctionnait que part logique.
-Élise nous pensons que ton père était une créature et le fait que Martine se débarrasse du maire et te protège fait d’elle la personne la plus suspecte alors vous m’excuserait mais je n’ai pas d’autre choix que de suivre la voix de Pierre… Dirait-il en pointant à son tour Martine.
Sur les 7 survivants, 3 décidèrent de tuer Martine et les 3 autres pour tuer Pierre. Il ne restait que Tristan entre les deux. Il ne savait plus où donner de la tête. Jacqueline le regardait.
-Tristan ? Si tu veux toi et moi, on pourrait sortir ensemble qu’en pense tu ? Elle lui ferait un clin d’œil. Il rougissait comme une fraise et il souriait.
-C…C’est vrai ?
-Oui Oui, mais vois-tu pour ça il faut que tu tues Martine ! John n’en croyait pas ses oreilles et Tristan ressentit un grand frisson dans le dos.
-Mais je ne peux pas c’est la mère de mon meilleur ami !
-Oui mais si tu le fais toi et moi on pourra dormir ensemble, et si tu veux je te montrerais des choses que tu as toujours eu envie de voir. Réplica-t-elle d’un clin d’œil. Il rougissait de plus belle mais il fit face au regard perçant de John. Il n’allait jamais le pardonner s’il osait le faire… En même temps… cela fait depuis longtemps qu’il rêve de ça. Son bras se positionna en direction de la prochaine victime. Pierre avait 4 votes contre lui.
-Désolé Jacqueline mais je ne peux pas faire ça. Il regardait John avec un sourire. Jacqueline était folle de rage. Martine s’avançait avec un couteau dans la poche, elle se rapprocha vers Pierre qui regardait avec fureur Tristan. Quand elle fut assez proche elle le plantât droit dans l’abdomen du géant. Un peu de sang coulait de sa bouche et il regardait Martine dans les yeux. Le regard toujours emplie de haine il mit la main dans sa poche et sortit un revolver qu’il colla contre la tempe de son assassin. John eu une goutte de sueur qui perlait sur son front. Pierre souriait.
-On se retrouve en enfer.
Une détonation survint faisant exploser le crâne de Martine qui s’écroula sur le sol. Pierre tombait lui aussi, le sourire aux lèvres il mourrait en paix.
-NOOOOOONNNNNN. John courait vers sa mère. S’agenouillant près d’elle il la prit dans ses bras et pleura sa mort.
-Non… Ce n’est pas possible. Tout le monde était sous le choc, Jacqueline et Théo regrettaient leurs actions. Ils n’avaient pas réfléchi aux conséquences de perdre un parent. Leurs parents avaient déserté alors ils ne pouvaient pas savoir ce que ça faisait de voir sa mère mourir sous leurs yeux. Ils ont été égoïstes mais leurs excuses ne valaient plus rien maintenant. Le mal a été fait.
Plus tard dans la journée, quand le ciel était orangé, John venait de finir la tombe de sa mère. Élise le rejoignait peu de temps après et elle le serrait dans ses bras. John pleurait. Il ne cessa pas de pleurer avant un moment. Élise dormait avec lui pour ne pas le laisser seul mais malgré cela il pleurait toujours.
-John regarde-moi. Elle leva le menton de celui-ci et l’embrassa sur les lèvres.
-John… J’ai cru entendu mon père dans mes rêves, dès qu’il t’a vu il savait que tu étais une bonne personne alors il t’a demandé de me faire visiter la ville dans le but que tu te rapproches de moi et que l’on puisse un jour sortir ensemble. Il voulait un bon gars pour sa fille et il t’a choisi. Mon père n’a beau pas être avec moi en ce moment je sais qu’il est présent dans mon cœur car sans lui je ne serais pas avec toi aujourd’hui et je pense que c’est pareil pour toi et ta mère alors ne t’en fais pas elle est encore là, elle n’est pas partie.
John pleurait de peine, mais maintenant elle était moins lourde à supporter. Élise lui avait remonter le moral. Il murmura.
-Merci Élise…Peu importe ce qu’il se passe je vais toujours te protéger… J’ai hâte que cette malédiction sur le village cesse… J’espère que tout ceci prendra fin bientôt.

Joueurs restants :
Théo
Rose X
Alexandre X
Benjamin X
Jacqueline
Marc X
Pierre X
Mario X
Jessica X
Eliot X
John
Martine X
Élise
Tristan
Olivier X

Chapitre 5
5 survivants… chaque jour de moins en moins… voir ce chiffre diminuer si radicalement était une vraie torture dans la tête de ces 5 adolescents. Une question se posait chez tous : Quand est-ce que ça finira ? Théo était chez lui. Il s’était levé tôt pour chercher comment sortir d’ici. C’était son moyen de se faire pardonner pour avoir été égoïste. Jacqueline était dehors, allongé dans l’herbe à côté de la porte elle relaxait. Le soleil se levait à peine, le ciel était parsemé de rose, de gris, de bleu et d’un teint doré. Des pas s’approchèrent vers elle. Se cachant dans les herbes plus denses elle vit Tristan qui observait la porte. Il ne bougeait pas. Pas un seul mouvement. Pas un seul bruit. Juste le vent qui sifflait sur son visage.
-Hey tu vas cesser de rester planter là ? Jacqueline c’était levé, elle fixait Tristan avec un air sérieux. Puis elle partit s’allonger dans l’herbe en ayant l’air de bouder. Tristan était surpris de la voir ici et lentement il se dirigea vers elle avant de se tenir debout près d’elle. Par la suite il s’asseyait et Jacqueline se décala pour ne pas rester proche de lui. Elle regardait le ciel.
-Que fais-tu là ? Jacqueline tournait la tête en entendant cette question.
-C’est plutôt à moi de te demander ça crétin ! Elle faisait encore la tête on dirait. Tristan souriait.
-Depuis que le village est attaqué… je vais voir les portes de la ville pour savoir si elles s’ouvriront un jour. Là c’était lui qui avait l’air sérieux. Jacqueline serrait les dents.
-Abruti ! Personne ne nous sortira de là ! Nous devons nous débrouiller par nous-même maintenant…
Un silence suivait. Comme si la vérité venait d’être dite. Peu de temps après, sur la place principale du village se tenait John, Élise, Tristan et Jacqueline. Théo n’était pas là. Tous pensèrent qu’il avait été tué cette nuit quand soudain une ombre sortait d’une ruelle.
-Salut tout le monde ! C’était Théo.
-Attend ! Tu n’es pas mort ? Prosterna Jacqueline. John n’en revenait pas.
-Est-il possible que… Il eut un moment de silence avant de finir : Est-il possible que… ce soit la fin ?
Cela menait à la réflexion de tous. Si personne n’était mort cela signifie que le village à exterminer toutes les créatures ?
-Avez-vous entendus des bruits hier soir ? Lança John.
-Non c’est vrai qu’en plus qu’il n’y ait pas eu de mort, je n’ai entendu aucun bruit la nuit dernière.
-Je confirme, je n’ai rien entendu ! Confirma Jacqueline à Théo.
-Yeah ! Nous sommes sauvés ! Tristan sautillait tellement il était heureux. John esquissait un sourire et Élise essuyait quelques larmes de joies qui coulaient sur sa joue. Tous furent aux anges. Ils firent un feu de camp après avoir retiré et dépouillé la corde qui à servir à pendre des innocents. Ils s’amusèrent en dansant et en chantant jusqu’à l’aube. Autour du feu les jeunes se reposaient après s’être défouler de leur rage. John regardait le sol en pensant à sa défunte mère.
-Tu vas bien ? Élise se rapprochait de lui. Assis l’un à côté de l’autre John eu une larme.
-Elle me manque. Élise le prit dans ses bras en murmurant que tout allait bien maintenant et que sa mère devait être heureuse au ciel de savoir que son fils est toujours vivant. Ce point de vue fit sourire John qui serra Élise fort contre lui. Un craquement de branche le sorti de sa pensée. Quand il leva la tête il vit ses 3 camarades se tenir à quatre pattes, du poil recouvrait leurs corps, un museau leurs poussait avec de la bave dégoulinante et finalement… leurs yeux étaient vides.
Fin
Joueurs restants :
Théo (créature)
Rose (petite fille) X
Alexandre (Joueur de flûte) X
Benjamin (simple villageois) X
Jacqueline (créature)
Marc (cupidon) X
Pierre (chasseur) X
Mario (créature) X
Jessica (voyante) X
Eliot (simple villageois) X
John (salvateur) (en couple avec Élise) X
Martine (sorcière) X
Élise (chaman) (en couple avec John) X
Tristan (créature)
Olivier (simple villageois) X