L'épidémie

Au coeur du royaume d'Iranor, dans le petit village d'Essac, le mal a frappé. En moins d'une semaine, la peste a fauché des dizaines de gens et fait soufflé un vent de panique sur la régions. Mais rien ne laissait présagé l'apparition d'une telle maladie... Les récoltes vont bien, la guerres est loin derrière nous et les frontières sont bien gardé depuis cette dernière. Bref, quelque chose clochait, surtout qu'un Prêtre a été déclaré disparut dans la région, quelque jours auparavant. Et l'Église, recevant une demande d'aide de la part du village, profita de l'occasion pour envoyé l'une de ses équipes sur les lieux investigué sur la mort du Prêtre et réglé le problème de la peste.

Vous, l'équipe mandaté, arrivez au abord du village après quelque jours de marche. Votre groupe a été formé il y a de cela quelque semaine donc vous vous connaissez déjà un peu et possédé une certain cohésion dans vos actions.

Décrivez l'apparence de vos personnages, votre classe, ce qu'ils sont vu de votre caractère et ce que vous inspirez quand quelqu'un vous rencontre pour la première fois.

Rob
personne ne sais Comment il est rentrer dans l'église surtout comment il est devenu prêtre avare de tous jamais il ne partagerais ses précieux soin pour ramener  des faible  se sacrifiant pour rien (sa coûte chère des réparations)
Chauve habillé dune Toge de prêtre simple et armé  d'un marteau de guerre
Il n'inspiré rien de bien particulier au gens qu'il croise

Nynaeve, mage, aurait les cheveux longs et ondulés, noirs comme l'Onyx. Dex yeux d'un gris tempêtueux réflecteraient sa personalité. Elle aurait une taille moyenne, mais ça ne l'empêcherait pas de regarder tout le monde de haut. Elle aurait des traits délicats, qu'elle porterait comme si elle savais qu'elle était belle et s'en réjouisserait. De ce que vous auriez vu, elle se fouterait carrément des autres autour d'elle.

Shura, Clerc. Il possède une grande toge noir avec un chemise blanche en dessous. Son col blanc ressortait. Homme dans la vingtaine, brun avec un grimoire sur lui. Il passe son temps à le feuilleter. Il a la manie de remonter ses lunettes frequemment. Il a l'air de ne pas être quelqu'un qui prend les choses à la légère, il ne sourie pas et ne perd pas son temps

Arnil fut élevé soldat. Toute sa vie il défendit le bien avec ferveur et sans discernement. Avec le temps, il fut charger des interrogatoire, puis de la chasse aux hérétiques, et puis ceux-ci on une fâcheuse tendance à le mettre en colère, surtout les menteurs

Louise, une jeune fille qui vient d'atteindre la maturité, a vécu au couvent toute sa vie et y a appris tout ce qu'elle connait. Elle a les cheveux châtains et les yeux bleus. Elle porte le linge qu'elle eue du couvent. Elle parle a peine et semble avoir le nez dans un bouquin différent tout les jours. De plus, elle observe les gens comme si ils étaient des animaux sur lesquels on fait des expériences.

Donc, vous arrivez au village d'Essac par l'allé principale mais alors que vous êtes en avant midi, heure favorite pour faire des courses avant la grand chaleur de l'après-midi, il n'y a personne. Les rues sont désertes mais le temps est sublime, créant un contraste assez étrange. Vous avancez dans l'allé et certain d'entre vous remarques des gens vous regardez au travers de leur maison intacte. Les maisons sont collé les unes sur les autres mais parfois, entre deux maison, un chemin s'ouvre sur un escalier qui semble monté et si vous suiviez du regard ce chemin, vous verriez que la rue principale est le point le plus bas du village et que les maisons s’élève tout autour de vous.
Et de l'un de c'est chemin sortit en trombe un petit garçon d'environs 8 ans, deux émotions totalement contraire sur le visage ; La joie et la panique. Il vous fonce dessus, sous les cris de protestation de sa mère qui lui hurle de revenir à la maison depuis l'entré de la ruelle.
- M'sieur, m'sieur! V'nez vite, ma p'tite soeur a mal! Maman a dit qu'tu vous... pouvais, pouviez la soigné! S'il te plait, s'il vous plait, s'il vous plait!!!
Le petite garçon semblait à deux doigt de pleuré, totalement paniqué et s’accrochant désespérément aux vêtement de Nynaeve.


Que faites-vous?
Idem, tu agis en premier à cause que tu es directement sollicité par le garçon.

"Messieur?! Mais- Ugh, les enfants, des fois... D'accord, on se calme, tu vas m'arracher les vêtements, là... Qu'est-ce qu'elle a, ta soeur, voyons? La peste? Parce que si c'est la peste... Hé, ne t'approches pas trop, hein!" Elle s'écrierait, reculant un peu face au garçon. Elle réajusterait sa blouse, d'un bleu marin.
"Aller, tu me raconteras ça en m'y amenant, d'accord?" Elle dirait, avec une voix de mère clairement forcée. Elle semblerait mise mal à l'aise, et ça serait très visible. Elle se tiendrait cependant avec honneur, le dos très droit.

(Personnellement je suis ,sans un mot jusqu'à la porte de la dite demeure et j'attends à l'exterieur)

"Dit moi petit, t'as vu des gens louches il n'y a pas longtemps. Tu vois des gens habillé differement ou disant du mal de l'Église? Et dit moi la vérité, je déteste les menteurs gamin" dit Arnil en le regardant froidement, le fixant du haut de son imposante carrure

*se rapproche en prenant l'épaule de Arnil.
Doucement ce n'est qu'un enfant. Dit moi petit que c'est t-il passé ici. (37/ 45+10)

La face en plein dans son bouquin, elle suivait le groupe, quelques pas en arrière de tout le monde.

- Oui m'sieur! J't'y, vous y conduit tout de suite!

Il allait tourné les talons pour retourné, tout excité, vers sa mère mais il se figea en vole pour se tourné vers Anril, assez apeuré par le ton de sa voix.

- Dit moi petit, t'as vu des gens louches il n'y a pas longtemps. Tu vois des gens habillé différemment ou disant du mal de l'Église? Et dit moi la vérité, je déteste les menteurs gamin.

Il ne répondrait pas, complètement apeurée alors que sa mère s'en viendrait en courant, totalement blême.

- Doucement ce n'est qu'un enfant. Dit moi petit que c'est t-il passé ici.
- At! Attendez, messieurs! s'écria la mère en s'approchant. Laissez-moi vous l'expliquez, j'vous conduit chez moi!

Elle semble un peu sur les nerfs et très agité, comme si elle était sur que vous alliez punir son fils pour s'être comporté ainsi avec des envoyés de l'église. Elle l'agrippa par le bras, le poussa devant elle l'exhorta à avancé en le poussant légèrement dans le dos.
En partit aussitôt en direction de la ruelle, sans même se retourné, et avança ainsi jusqu’à arrivé devant une maison totalement identique au autre si ce n'était de la croix rouge ornant la porte de sa maison. Un fois arrivé, elle poussa son fils à l'intérieur et ressortit peu de temps après, déjà plus tranquille.

- Vous devez être les envoyés de l'Église? sans attendre de réponse, elle continua. J'espère que c'est le cas parce qu'ont a vraiment besoin d'un miracle en se moment.

Elle s'accota sur le mur de pierre de sa maison et soupira lourdement, totalement épuisé.


Que faites vous?
Cette fois ci, on suit l'ordre.

"Que voulez vous dire madame, des problèmes avec la peste? Ça a commencé quand tout ça? Des gens louches sont arrivés au même moment peut être?" Demanda Arnil en faisant preuve de tout la non-empathie du monde, arborant une posture militaire, la fixant de ses yeux inquisiteurs

Nynaeve roulerait des yeux en soupirant, regardant sens compatriotes avec exaspération.
"Bonjour, on m'a demandé de l'aide pour une raison! Reculez un peu, donnez-moi de l'air, et laissez-moi poser les questions. J'ai l'impression que vous me soufflez sur la nuque, là!" Elle s'exclamerait, arrangeant le collet de sa blouse, comme pour faire effet.
"Pardonnez-les, madame." Elle dirait en regardant le garçon d'un air pointillé, comme pour lui montrer le bon titre. "Est-ce que vous seriez assez aimable pour répondre à quelques questions, pendant que j'aide votre... fille? Oui, c'est ça... Dits, est-ce que quelqu'un agit bizarrement, de ces jours-ci? Quelqu'un a-t-il survécu miraculeusement à la Peste?"

Laissant les autres poser leurs questions, elle ferma son livre et le rangea. Puis, elle releva les yeux pour observer la mère du garçon attendant visiblement les réponses qu'elle donnerait.

Moi j'attends à l'extérieur les bras croisé, rien de spécial .

Shura resterait là sans bouger et à ecouter. Il écrirait de temps en temps. Il était attentif aussi à ce que la femme racontais.

Elle regarda le paladin en fronçant les sourcilles, ne semblant pas du tout apprécié le fait que le paladin montre si peu d’empathie face à la situation. Elle soupira à nouveau et se résigna à coopéré, ne voulant certainement pas avoir de potentiel conséquence de la part de l'Église, qui est réputé pour être, oui, bienveillante à l'encontre de ses fidèles, ce qui signifie la majorité su peuple, mais sévère envers ceux qui peuvent leur mettre des battons dans les roues. Mais alors qu'elle allait parlé, la mage interrompit dans sa lancé.

- Vous ne faites que votre travaille, pas besoin de vous excusez ainsi. répliqua-t-elle en lançant quand même un regard équivoque en direction du paladin. Par contre, je préférait que vous me posiez les questions ici et qu'après, vous alliez voir ma fille. Je préférerais évité l'agitation autour d'elle, tellement elle est faible...

Elle garda le silence un instant, semblant reprendre le contrôle d'elle et de sa voix qui avait chevroté vers les derniers mots. La situation semblait vraiment dur à porté pour elle... Mais bien vite, elle releva la tête, essayant de reprendre une expression ferme, sans grand succès et parla.

- Il n'y a pas eu de nouveau arrivant depuis près d'une année complète au village et très peu de gens passe par ici. C'est un coin assez reculé, après tout... Et tout ceux qui ont contracté la peste sont... sont...

Elle se figea, comme sous le choc de ce qu'elle apprêtait à dire, le sort funeste qui attendait sa fille. Elle vous regarda avec une grande détresse, vous demandant muettement de faire quelque chose pour les aidés.



Jet de mental pour tout le monde. Écrivez le résulta entre parenthèse au début du poste.
Tour normal.
Aussi, dans votre message, vous pouvez aussi demandé à analysé les environs ^^

(22/50)
Arnil, froissé qu'on lui fasse remarquer son manque de tact, croisa les bras en fixant la dame avec des yeux inquisiteurs, tentant de détecter le mensonge dans ses paroles

(20/65)
Nynaeve, faisant de son mieux pour ne pas avoir l'air exaspérée, se serrerait les poigts derrière le dos et sourirait.
"Vous êtes un petit village, du coup. Est-ce que vous connaissez quelqu'un de... louche? Qui n'agit pas à son habitude, ou qui est simplement bizarre? Ou... Quelqu'un que tout le monde aime? Un peu comme moi, vous savez?" Elle continuerait à questionner, avec son plus grand sourire, ses yeux lançant des dagues au reste du groupe avant qu'ils ne disent quoi que ce soit. Elle se tasserait les cheveux, boudant avant qu'ils n'aient répliqués.
"Et, du coup, comment se tient votre fille? À quel point est-elle rendue malade? Est-ce que ses doigts sont noircis? ...je vais peut-être me refreindre de continuer sur la liste des symptomes, en fin de compte..." Elle tousserait un peu, comme pour se rattraper.
(Du coup, j'essaierai de lire son visage. 35/65 en mental, sinon 35/40 pour charisme.)

(79/60)

Louise, désintéressée des propos de la mère du fils, promena un regard sur les lieux. En voyant la ville vide de toute vie, elle esquissa un sourire et sortit un calepin pour dessiner cette vue si rare en plein jour.

(en même temps je vais faire un jet d'analyse ^^ 2/60 en mental)

(78/65) Shura n'entendit pas vraiment ce que la femme marmonnait en avant du groupe. Pour faire passer le temps il se mit à l'ombre et commença à feuilleter son livre. Replaçant ses lunettes il essayait de lire paisiblement au coin d'un mur. Un passage le marquait: "Quel bonne viande de dieu que de déguster des raisins et galettes aux petites heures de l'équinoxe!"

Je devrais écouter les conseils de cette litterature, elle est fort pertinente et exquise.

Je reste à l'écart du groupe adossé au mur contemplant la nature (56/65)