Famille de la Mafia

Bonjour à vous! Donc, j'ai une idée qui me trotte dans la tête depuis un moment et comme le titre l'indique, c'est de faire un Rp avec pour thème la Mafia! Mais rien de sérieux, le thème serait même plutôt humoristique allant totalement vers l'absurde, même.

Mais à l'intérieur d'une Mafia, il y a des rôles!... Je vous en propose une quinzaine, vous n'êtes pas obligé de prendre ceux là, c'est uniquement pour donner des idées. Les voici! :

Parain (chef)
Sniper
Assassin
Espion
Garde du Corps

Dresseur de chien
Usurier (celui qui est chargé de récolté l'argent après un pret)
Vendeur de drogue
Vendeur d'arme
Gérant de bar (qui s'occupe d'un bar/maison close pour le Parrain)

Majordome (s'occupe des affaires général)
Avocat
Psychologue
Médecin
Nettoyeur (de corps et de preuve)


C'est pas mal ça... N'hésité pas à faire des clins d'oeil à ce qu'il se passe à l'extérieur de l'endroit et autre chose de ce genre ^^

C'est partit!

Pour la centième fois de la journée, une femme habillé d'un ensemble cravate noir et blanc franchit la porte de service du bar. Ses cheveux noir, teint, attaché en queue de cheval dévoilait un visage pointu au trait affable. Son costume rendait son corps encore plus mince qu'il ne l'était, aplatissant sans le vouloir les faibles forme de la femme. Elle balaya la salle de ses yeux bleu-gris et acquiesça dans la direction du gérant, qui partit aussitôt vers une porte, fonçant pitoyablement dans le cadre de celle ci. Elle soupira d'exaspération en le voyant se relevé en quatrième vitesse avant de filé à l’extérieur. Le bar allait ENFIN pouvoir ouvrir.

À peine 10 minutes plus tard, les clients envahissaient déjà la place, prenant position autour des tables basse entouré de petit sofa disséminé près des murs de la salle. Au centre de celle-ci s'élevait une piste circulaire noir, prolongement d'une scène longeant un mur, qui pouvait accueillir des danses de toutes sorte ainsi que des musiciens. Un large espace s'ouvrait entre les deux scène relié pour laissé ceux voulant dansé le faire. Sur le mur opposé à la scène se tenait fièrement un bar en bois polie, bourgogne, derrière lequel s’alignait des centaines de bouteille de toute sorte. Un lumière tamisé et des projecteurs au plafond arrivait à créé plusieurs atmosphère, tout dépendant l'endroit ou on se trouvait dans le bar. Et derrière certain rideau faisant face l'entré principale, des portes menaient au sous sol, ou plusieurs portes s’alignaient pour diverse utilité...

La jeune femme se dirigea vers le bar ou elle s'assit en soupirant lourdement, épuisé de sa journée. Derrière elle, des danseurs et danseuses revêtu d’habit qui laissait plus place à l'imagination que n'en dévoilait. Le rythme entraînant de la musique s’amenuisait au niveau du bar, donnant une tranquillité bienvenu. Elle leva la main et interpella un des barmans.

- Un double whisky, avec beaucoup de glace.

Sans rien dire, il déposa un verre devant elle, remplit de glace, et versa le whisky. Aussitôt la dernière goûte tombé, elle l'empoigna et en vida la moitié d'un coup avant de recraché l'intégralité dans le visage du pauvre serveur.

- PUTAIN!!! J'AI DEMANDÉE UN DOUBLE WHISKY, PAS UN SCOTCH, MERDE! lui hurla t'elle au visage, déposant brutalement son verre sur le comptoir.
- Dé... Désolé madame! s'excusa-t-il en lui servant aussitôt sa commande.

Elle l'empoigna et se tourna sur son banc, regardant la salle avec un air morose. Journée de merde...

"Voyons! Pas besoin de crier après ce jeune homme, madame! Et vous, vous ne vous trompez jamais? Ce n'est qu'une boisson, ça ne vaut pas la peine de l'engueuler! Hehe!" S'exclamerait une petite voix venant de la porte, qui se refermerait doucement à la fin des paroles. Une fille serait devant l'entrée, un grand sourire au visage. Ses cheveux, rose bonbon, seraient en deux petits chignons, décorés de quelques fleurs blanches et jaunes. Ses yeux d'un bleu clair comme le ciel brilleraient d'une vitalité incroyable. Elle serait vêtue de vêtements colorés: un chandail mauve et jaune, long, attaché à l'aide d'un élastique à sa taille, des sarouels bleu et rose, et des bottes fluorescentes vertes. La fille ne ferait pas plus de cinq pieds de haut, mais son âge serait dur à dire.

"Je prendrais bien un piña colada, messieur!" Demanderait-elle joyeusement, s'installant près de la dame, au comptoir, un grand sourire au visage, ignorant les regards sceptiques du barman. Prenant sa boisson avec énergie, elle en buverait quelques gorgées et se retournerait vers celle à son côté.

"Aaaaalors, très chère. Que ce passe-t-il dans votre vie, pour avoir un air si grognon- sans vouloir vous offenser!" Dirait-elle, son regard intense à en rendre mal aisé, continuant à sourire.

Un homme vêtu d'un manteau long noir et encapuchoné il avait à la main berta son immortel , bien que quelque peu macabre , ami son instrument préférer jamais il ne s'en séparerait .
Il regardait cette fillette beaucoup trop coloré pour ses pupille à un tel point qu'il en fut quelque peu aveuglé. Puis il vit cette femme beaucoup trop brayairde à son goût cela paraissait qu'elle ne connaissais pas la mort. Puis un souhait traversa son esprit : hum j'aimerait bien les mettre ... puis il remarqua qu'il pensait à voit autre . - ho ne vous préoccuper pas de moi intéresser vous plutôt à vos geignardise enfantine , mais comme la mort je vous mènera vers la lumière dès que vous aurez le dos tourner.

-Cette personne vous importune madame ?

La voix douce émergait du dos de l'homme qui venait de parler. Une tête se dessinait au dessus de celui ci. Le visage ovale et pâle, Le menton pointu, les yeux noirs comme l'ébène, les cheveux longs, noirs et raides finnissaient en pointes bien définies et une boucle d'oreille en argent avec un coeur ornait son côté droit. Il ne souriait pas. Ses mains était vêtues de gants blancs qui contrastait son uniforme de majordome noir.

- ... Je présume que vous êtes les nouveaux que le Patron a engagé?

"Pourquoi es ce que les types ici doivent toujours être aussi... spéciale?!??!" pensa-t-elle, une expression de profond découragement se peignant sur son visage. Aller, prend le poste, c'est tranquille! qu'il avait dit... PUTAIN DE MERDE! En quoi Majordome était une poste tranquille!?!?? MERDE! QU'il aille se faire foutre! "Sebastian-sama, pitié, sauve moi!" pleura-t-elle intérieurement. Se rendant compte qu'ils la fixaient, attendant une réponse, elle se redressa et toussota un peu pour s'éclaircir la voix, sons visage toujours aussi épuisé.

- Bref, je m'appelle Alisen (s'écrit habituellement Alison, se prononce Alissen), en charge de la maison principale (base d'opération) et des multitudes de projet qui apparaisse dans la tête de notre timbré de Patron. Ne causez pas de problème, j'en ai déjà bien assez à géré.

Puis, elle se tourna vers le grand homme, tout de noir vêtu, ayant vraisemblablement eu la même source d'inspiration pour leur personnage. Elle se leva de son fauteuil et lui tendit la main, sans gant, ignorant le témoin de géova.

- Vous devez être celui qui va me libéré d'une bonne partit de mes obligations? dit-elle avec un sourire poli.

"Oh putain, il ressemble trop à Sebastian-sama! O_O" Retenant assez violemment sa crise de fangirlisme total, la jeune femme se tint devant lui, rêvant dans le secret de sa tête de lui sauté dessus pour prendre des centaines de photo.

-C'est mademoiselle qui m'a amené ici.

Son visage laisserait deviner qu'il parlait de la dame aux cheveux "rose-bonbon".

-Elle vient d'une famille de riches et donc l'on m'a engagé pour la protéger. De plus ils tiennent à ce qu'elle soit inscrit ici pour son éducation. Je me dois de la suivre et étant donné ma profession ils tiennent à se que je m'occupe de tout l'établissement. Alors en quelque sorte oui je dois aussi vous servir.

Il s'inclina avec une main sur la poitrine.

Heureux de vous servir lady Allysen.


(désolé pour les faute du nom)

- Heu... Vous êtes au courant que nous somme dans un bar? On ne peut pas faire l'éducation d'une ga... enfant ici!

Elle alternerait son regard entre le Majordome (PUTAIN, IL RESSEMBLE À SEBASTIAN!) et la gamine, sentant les ennuies venir à la vitesse grand V. Mais bref...

- Je ne comprend pas trop la situation... Pourriez-vous expliqué plus en détaille qui vous êtes ainsi que la famille de cette ga... enfant? Surtout par rapport à la notre (famille mafia)? demand-t-elle.

-Je me dois de garder en secret le nom de la famille qui m'a envoyé ici. Pour vous expliquer la situation cette "enfant" est destiné à un grand avenir. Elle devra épaulé l'honneur de sa famille s'il arrivait un problème aux personnes au dessus de son statut social. Mais mademoiselle n'apprécie guère l'éducation scolaire et elle aime défier les ordres d'autorité d'où sa présence au bar. Je me suis occupé d'elle depuis son plus jeune âge. Je ne suis qu'un garde du corps pour mademoiselle et dorénevant pour l'organisation dont l'on fait partie. De plus je ne peux... pourquoi votre regard semble si troublé?

Il remarquait que la dame devant lui était déstabilisé de sa présence. Alors il la regardait avec le plus grand sérieux.

L'homme s'assisa donc à une table évident tous contacte visuel avec cette... boule de lumière ? Puis il entrepris l'entretient de sa berta ; puis il se mit à lui parler.- Ho ma pauvre que t'es t'il arriver? ... ha oui je suis désolé je te promet de ne plus recommencer. ... mais je tes dit que je suis désoler ! Ha! Les femme qu'es qu'elle sont compliqué!... oui désoler je sais c'était un peu gratuit ...

La "petite" regarderait les deux parler un moment, à veille de rire tout le long, l'hilarité montant sur son visage de plus en plus, au fur et à mesure que les deux discutaient, et que la confusion apparaitrait au visage d'Allissen. Elle éclaterait enfin, un fou-rire la prennant. Elle n'aurait pas eu l'air très inquiétée avec l'homme les ayant menacées que des moments auparavant. Sinon plus, il aurait contribué à ses rires. Elle se calmerait après quelques minutes, prenant une gorgée de sa boisson avec un grand sourire.

"J'ai vingt-trois ans." Dirait-elle enfin en se remettant à rire.
"Et ils me traitent encore de petite! Hehe! Ils sont là meuh meuh tu dois devenir Marraine un jour meuh meuh arrête tes conneries, mais je ferai bien ce que je veux, en fin de compte! Et me voilà! J'ai bien l'âge pour boire, malgré toutes leurs paroles!"

Elle rirait, enfantine malgré sa déclaration. Elle balayerait sa frange d'une main distraite, souriant à pleines dents parfaites.

On entendit une mâchoire percuté le sol. Lentement, très lentement, la femme se tourna vers la "gamine", les yeux grand comme des soucoupes. Alisen avait évidement écouté ce que le majordome avait dit, ayant légèrement tiqué sur sa dernière phrase. En effet, un concours de "Kya kya!" avait éclaté dans sa tête au moment ou le... garde du corps, en fait? avait dit qu'il l'observait (de son point de vue. Pauvre fille naïve). Mais bon, apprendre qu'une femme de 23 ans à l'apparence d'une gamine de 10 ans... ON VOIT ÇA QUE DANS LES ANIMES!!!! Merdeuh, encore des problèmes...

- Donc... Vous avez 23 ans... D'accord... C'est vrai? demanda-t-elle en se tournant vers "Sebastian-sama".

En effet.

Il s'approcha d'elle pour lui murmurer à l'oreille. Il avait une odeur qu'il emportait avec lui, une odeur masculine particulière. À la fois sauvage et élégant, parfum d'un homme distingué mais famillié. Sa main viendrais replacer les cheveux de la femme derrière son oreille en finnissant par la mettre juste à côté de sa bouche. Il parlait à voix basse comme si il ne fallait pas que les autres l'entende mais on pouvait dicerner des murmures. Il était tellement proche que cela en été troublant... très destabilisant dans le cas de la dame.

-On lui fait croire qu'elle est encore trop jeune pour aller dans les bars pour qu'elle ne prenne pas l'habitude de fréquenter des endroits ouverts et pour qu'elle ne s'habitue pas au goût de la bière.

En reculant son visage il déposa sa main sur la joue de la demoiselle pour finalement lui soulever le menton.

-Gardez le secret d'accord ?

*clin d'oeil*

- Ou... Oui?........ *BANG!*

Et la jeune femme tomba au sol, des étoiles et petit coeur au dessus de sa tête.

Alors que la précédente musique prenait fin, une autre musique embarqua, beaucoup plus entraînante. Des danseurs apparurent sur la piste, qui se retournèrent bien vite pour accueillir des danseuses. Puis, un homme fort séduisant entra et commença à chanter alors qu'une femme d'une beauté éblouissante s'avançait.

Elle avait de longs cheveux blonds et légèrement bouclés, des yeux d'un bleu clair et une poitrine qui ressortait. La lumière faisait ressortir sa robe rouge, coupé en V à l'avant. On voyait sur ses hanches des ronds de métal entre reliés et elle commença à chanter d’une voix mélodieuse et portante tout en se dirigeant vers le bout de la passerelle.

C’est alors qu’elle trébucha et tomba par terre, semblant morte pendant quelques instants avant qu’elle ne se relève et agisse comme si sa magnifique chute était voulue. Lorsqu’elle se rendit au bout, elle commença à danser suavement pour le reste de la chanson.

 Après que les dernières notes prirent fin, elle descenda de la passerelle, évita de justesse la majordome par terre, lui lançant un regard noir et alla s'asseoir au bar. Elle ne dissimula nullement son dégoût pour l'attroupement de linge que portait la fille, sans toutefois faire un commentaire. Elle commanda une shot de vodka, n’arrêtant pas de regarder le linge que la fille portait pendant que son visage démontrait de plus en plus de découragement.

(Le perso de Marie est une majordome?)

L'homme vit la femme s'écrouler devant ses yeux. Il souriait.

-Haha elle n'a pas tenu longtemps.

S'avançant vers elle mis la main dans sa poche pour prendre quelques billets qui garda dans son gant blanc. Il s'agenouillait en verifiant si elle ne saignait pas en arrière de la tête. Il entrevu possiblement une goutte de sang venant du nez de l'inconsciente. Il la prenait dans ses bras en faisant attention de ne pas la bousculer et il se dirigea vers les escaliers. Juste devant il s'arretait et il lança à l'aubergiste "Je vais la déposé dans une chambre pour qu'elle se repose. Gardez la monnaie. " en deposant les billets de sa main sur le comptoir. Ensuite il montait sans dire un mot en fixant le visage comme si il veuillais sur elle pendant son sommeil.