La bonne vieille taverne!!!

"Ugh... pas un autre comme lui..." Aelia soupirerait, éloignant le dessin de sa vue avec deux doigts. Elle se frotterait les yeux, respirant comme pour calmer ses nerfs.
"La dernière fois, on a laissé faire notre contrat et on avait abandonné l'idiot sur la route, on n'en pouvait plus..." Elle marmonnerait, se relevant un peu sur sa chaise et tapant d'un doigt sur la table, s'éloignant un peu du soi-disant artiste, comme en évitant un malade. Elle se retournerait vers ceux à sa table.
"Hm, pardon pour l'interruption. Vous, vous faites quoi dans la vie? Et toi, le jeune, t'es qui? Tu ne t'es pas présenté." Elle demanderait, ignorant l'homme de l'autre table.

Tout se passais tellement vite que le jeune homme perdu le fil assez rapidement. Sans cesse de nouvelles personnes entraient et sortaient comme dans un moulin. Cela n'a toutefois pas un mauvais effet, voir meme cela rendait la taverne plus dynamique! Quoique le vieillard avait rendu l'adolescent un peu tendu il repondit tout de même à la dame lui demandant de se présenter.

Peter m'dam. Fils du forgeron et apprentis forgeron moi même.

Il se leverait et se pencherait en se présentant.

Un jeune homme ou une jeune femme, ne serait-on dire, entra dans la pittoresque taverne. Il était vêtu d'un long pantalon ample de couleur noire, d'un chandail gris et d'une longue tunique d'un vert clair. Visiblement, ses vêtements n'avaient pas été lavés depuis plusieurs jours. Ses cheveux bruns, en bataille, lui arrivaient jusqu'aux épaules. Son visage était blanc comme un drap, ses yeux cernés et ses joues creuses. Il s'immobilisa un instant, plissa ses lèvres et murmura d'une voix monotone:

"-Tic, tac. Clic, clac. Quel endroit charmant, oh, il semble y avoir des gens. Bien le bonjour, étranges personnages. Je suis heureux de vous voir dans les alentours, je suppose que la compagnie des autres est loin d'être un désavantage."

Tout en parlant en rime, ce poète insolite faisait danser deux petites marionnettes à ses pieds.

Peter resta incliner un moment avant d'entendre une voix jouant avec les mots pour en faire une poésie douce aux oreilles. Aimant des arts de toutes sortes il se redressa et parti vers le/la nouveau venu/e.

Salut!!! Es tu un troubadour?

Il resta là avec le sourire, les arts il aimait vraiment sa on dirait... DJ en profita pour se remettre sur l'epaule de Peter.

Le marionnettiste se retourna vers le jeune homme l'aillant interpelé. Il fit de nouveau danser ses pantins en lui répondant.

"-Ta perspicacité n'as n’égale que ton enthousiasme. Je ne suis qu'un vagabond affiché, me dire artiste serait un sarcasme. Quel est ton nom, jeune homme passionné?"

L'on me prenomme Peter. M'offrieriez vous une fleur de me dire le nom que vous portez dans votre coeur?

Il aimait la poésie mais il ne peux pas en faire à la forge, son patron le gronderait... Alors il se defoule chez lui quand il n'y a personne, imaginez quel fut son bonheur de croiser la route d'un vendeur de vers.

Un sourire carnassier se forma sur le visage du poète, agréablement surpris par Peter. Une certaine lueur de compétition apparue dans ses pupilles. Il fit quelques pas de gigue, tapant dans ses mains et posa tel un comédien d'un air dramatique.

-"On m'appelle Lukas, mais tous me surnomment le marionnettiste fou. Dis moi Peter, tu jacasse, mais es-tu un vrai poète ou un simple filou?" Demanda-t-il d'un air provocateur.

Peter était aux anges, il n'avait jamais vu de vrai poétes avant sa. Il sorti les mots les plus compliqué de son repertoire et decida dans faire du travail de professionnel pour impressionner Lukas.

Me permetteriez vous que je vous sortes mes plus beaux vers pour vous montrer ce que je peux faire et de ce dont je suis fier? Fils de forgeron je n'ai qu'un moyen de gagner mon nom. Poete du dimanche ne veux pas dire que je chante comme une manche , j'ai plus d'un tour dans mon sac vous verrez je pourrais animer un spectacle. Amoureux de rimes certains me traitent d'infirme alors que certain maladroits me considerent comme un roi!

Clap clap clap, entendit-on venir de la porte ouverte.

- Je ne pensais pas tomber sur un poète dans un village aussi éloigné, je dois l'avoué! s'exclama une voix.

La voix était indubitablement celle d'un homme mais avec les accents chantants d'une autre langue mélodieuse. Mais c'était loin d'être la première chose qu'on remarquait en le regardant ou même en l'écoutant. À la place de l'habituelle cape foncer et rêche des voyageurs, une cape de soie débordant de simplicité cachait son corps et son visage. La blancheur du tissus avait beau cassé l'effet mystérieux que son apparition et son visage cacher lui conférait, la curiosité sur cette étrange personnage demeurait. Il fit quelque pas dans la salle et retira sa capuche une fois à l'ombre de la bâtisse, dévoilant une visage au trait incroyablement fin. Ses yeux, d'un vert au teinte étrange, semblait dégagé une lueur malaisante sans pour autant être menaçante. Quelque mèche grisâtre tombait sur son visage à la peau pâle, cachant à peine ses oreilles pointues.

Aelia grognerait peu audiblement, regardant les nouveaux arrivés avec méfiance. Elle rapprocherait ses affaires d'elle, et semblerait garder une main sur la longue dague dans son dos.
"J'avais oublié comment les gens faisaient des entrées brusques, dans des tavernes... et comment ça me déplaisait..." Elle marmonnerait, tendue sur sa chaise.
"Qui êtes-vous, encore?! Dépêchez-vous donc de vous présentez, je ne suis pas patiente avec les... gens... Surtout ceux qui se baladent en soie lorsque d'autres s'affament." Elle cracherait, ses yeux dorés essayant comme de percer les secrets du voyageur.

- Je vous détrompe tout de suite, ma dame! dit-il, son ton de voix précédemment enjouer de sa découverte devenant neutre avec quelque accent mystérieux. Cette cape, je l'ai acquises à la cour d'un grand seigneur lors de mon passage sur son domaine. Je ne suis pas riche, loin de là. finit-il en écartant sa cape, dévoilant des habits de voyage usé jurant atrocement avec le vêtement de soie.
Il fit quelque pas dans la taverne, quittant définitivement la lumière du jour filtrant par la fenêtre de la porte. Il observa ne prit pas la peine d'observé la pièce, les clients présent ayant bien droit à leur vie, et s'avança vers le bars pour demandé un grand verre d'eau fraîche, qu'il cala d'un coup avant d'en redemandé un verre, qu'il recala tous aussi rapidement. Il était certain qu'il revenait d'une longue marche pour être ainsi assoiffé.

Aelia hocherait un peu de la tête, se calmant sur sa chaise.
"Et voilà comment on apprend rapidement des détails sur les gens... Sans toutes vos petites questions énervantes..." Elle dirait, le coin d'un sourire sur son visage. Elle vérifierait sa choppe, grognerait un coup, et ferait signe à l'aubergiste de venir la remplir, ce qu'il ferait rapidement. Elle prendrait quelques gorgées et la déposerait sur la table, fixant l'elfe, sans émotions sur son visage. Elle semblerait ne pas vouloir ajouter quoi que ce soit à ses propos, malgré leur aspect un peu incomplet. Dans le changement de lumière, dût à la façon dont elle se tiendrait, des vieilles cicatrices, ainsi que des plus récentes, se rendraient visibles sur ses bras et dans son cou, s'étirant sur sa peau lorsqu'elle regarderait derrière son banc.

L'elfe fixa la femme qui l'avait si étrangement abordé à son entré dans la taverne. Il détailla sa peau, les vieilles cicatrices blanche ou rouge très pâle sur cette dernière, s'étirant en même temps que ses muscles. Ce n'était pas beau à voir et leur histoire ne devait pas être amusante à écouté. Imaginer le sang qui avait du couler de chacune de ces marques lui donna un frisson des pieds à la tête et il redemanda un verre d'eau, essayant de pensé à autre chose.
Il regarda le tavernier aller servir la femme et fronça les sourcils quand l'odeur de la bière tiède arriva à ses narines. Vraiment, il ne se ferait plus jamais à cette odeur...

- Je ne sais sincèrement pas comme vous faites pour supporté la bière! Même avant, le goût m’écœurait et maintenant, l'odeur est très peu interressante pour moi... termina-t-il en marmonnant sur la dernière phrase.

(PS!!!! TOUT CE QUE MONSIEUR L'ELFE AVAIT DE MYSTÉRIEUX, OUBLIEZ ÇA!!! Il est intriguant plus que mystérieux et ses yeux ne sont pas du tout rassurant. Ça ne vous empêche pourtant pas de vouloir parlé avec lui. C'est pas mal l'effet que fait mon perso à date et vous saurez pourquoi en investiguant. Par contre, la joyeuseté de l'entré est toujours présente! Désolé du désagrément et prochaine personne, à toi!)

"Je supporte la bière plus que les personnes. Boire me distrait des conneries que les gens peuvent faire. C'est le meilleur de deux maux, disons. Mais c'est bien d'enfin voir quelqu'un entrer ici sans faire l'idiot." Elle déclarerait d'une voix un peu étrange, frottant le bouclier sur son sac d'une main, comme si elle avait vu une tache sur le métal. Elle froncerait des sourcils un moment, puis, satisfaite, prendrait une gorgée de sa boisson, et se retournerait à nouveau, ses yeux plissés en observant l'elfe.
"La politesse me demanderait de vous demander votre nom. La politesse est énervante..." Elle ajouterait enfin, grognant presque la dernière phrase.

"Es ce qu'elle a ... des problèmes de boisson?" Un pli se forma entre ses sourcils, semblant contrarié, et il fixa son regard sur la chope. Puis, il vit les cicatrices s'étiré au fur et à mesure qu'elle nettoyait son bouclier avec une attention toute particulière. "Elle doit avoir ses raisons." Il décida de faire abstraction de sa remarque sur l'alcool ainsi que sur les individus idiots qu'il ne savait s'il devait la prendre pour une insulte ou non. Le coin des yeux de l'elfe se plissèrent légèrement à l'entente de la dernière phrase, semblant essayé de retenir quelque chose.

- La politesse, ma dame, a déjà été expédié mais de façon un peu plus vulgaire lors de mon entré ici. Mais je n'y ai pas répondu car la politesse exige qu'on se présente avant de demandé le nom d'autrui. Oui, la politesse est énervante, je vous le concède. finit-il par dire, son début d'hilarité contaminant la commissure de ses lèvres.

Elle le regarderait, levant un sourcil, arrêtant sa choppe à mi-chemin entre la table et sa bouche, alors qu'elle allait prendre une autre gorgée.
"Mais puisqu'on a déjà sacagé la politesse, comme tu l'as si bien dit, alors ce n'est plus une nécessité. Tout comme le besoin de se nommer, en fin de compte. Alors, vous vous nommez ou je vous impose un nom?" Répliqua-t-elle après un moment, prennant enfin sa gorgée de bierre, qu'elle savourerait pendant quelques secondes, attendant les prochaines paroles de l'elfe, la tête haute avec sa logique un peu hors de l'ordinaire.

L'homme lachat son cahier de dessin et regarda les deux énergumène se débattre on aurais dit deux enfant à qui l'ont donne une seule sucette. Il riait à travers sa manche à voir cet femme dominer la discutions contre ce pauvre petit prépubaire.

-Bon sa va les filles on se calme il y a assé de moi pour vous deux!

Ignorant royalement, et c'est le cas de le dire, l'homme qui venait assez effrontément de le traité de femme, l'elfe poursuivit sa discussion avec la femme. Il ne put s'empêché de jeté une œillade dédaigneuse en direction de l’énergumène, le jugeant du haut de l'attitude de noble qu'il avait apprit à développé au contacte de ceux-ci. Puis, il reporta son attention sur la femme, du moins, en apparence...

- La politesse étant au placard, puis-je en sortir ce bon monsieur qui semble vouloir que je m'occupe de lui avec un peu trop d'attention pour ne pas être suspect? dit-il en regardant la femme, la lueur malfaisante de ses yeux semblant briller avec plus d'éclat.

Aelia grognerait un peu en entendant "l'artiste" les critiquer. Elle n'aurait pas l'air contente d'être appelée une fille, comme une jeune enfant, et sa main irait directement à la dague dans son dos.
"La politesse peut aller se faire foutre. Fais-en ce que tu veux avant que je décide à m'en occuper moi-même." Marmonnerait-elle, sa lèvre supérieur se redressant en dégout. Elle serait tendue comme un arc, surprennament encore assise sur sa chaise. Il n'y aurait nul doute qu'elle pourrait s'élancer en un clin d'oeil et commettre quelque action irréparable. Ses yeux brilleraient dans la lumière comme des feux, sautant d'un endroit à l'autre dans la pièce, retournant toujours sur le dessineur.

Peter entendit vaguement ce qu'il se passait derrière lui. En se retournant il vit les deux personnes assis entrain de discuter alors que l'énergument se situé entre deux. Sentant la tension monter il se diriga vers ceux ci.

Tout va bien ici?

Il lança un regard de compassion et une expression d'interrogation vis à vis ceux qui étaient importunés.

Voulez vous commander quelque chose? Je travaille pour l'aubergiste dans mes temps perdu alors hésitez pas à me demander si vous avez besoin de quoi que se soit !

DJ était en haut de la taverne. Se situant sur les bûches qui servaient à supporter le poids du toit il regardait ce qu'il se passait en regardant les gens qui arrivaient et sortait. Evidemment il porta une attention particuliere sur l'homme qu'il avait reconnu.

- Aucun problème en vu, Jeune Poète! Seul un fauteur de trouble voulant nous tourné en désuète est venu nous qualifié de fillette. Je ne puis accepté telle irrespect sous tout ses aspects. La jeune dame semble prête à dégainé sa lame. Alors, voici le dilemme : De quel façon voulez-vous devenir blême? finit-il, un énorme sourire malsain sur son visage.

Puis, du colle de sa cape sortit lentement un petit serpent rouge, jaune et noir, glissant tranquillement sur le tissu blanc en s'immobilisant sur l'épaule. Si on n'était pas trop absorbé par le serpent du haut, on verrait deux autre serpents semblable à ses pieds, restant immobile en fixant l'énergumène. L'aura autour de l'elfe se serait incroyablement alourdit, créant un grand contraste avec sa précédente aura sereine.

L'homme sourit aux menace de la femelle (marie ) il en avait vécu des plus verte et des pas mûre que ces petit serpents , puis il sentit que l'on attendais une réponse de sa part donc il sorti son vocabulaire du dimanche et s'écria : -Hey toi la jeune nubile tu ne sais pas à qui tu t'adresse je suis le general 《El ninpaurtokoi》 , donc avant même d'oser me répliquer tu devrait te trouver un homme, bien que tu ne sois pas callypige ,tu peut bien te trouver un homme pour porter les couilles dans votre couple!

- De couple, tu devrais commencer par me présenté le tien, inconscient! Mais au vu du nom déclamé, tu devras te montré patient. Car devant tant de satisfaction pour cette horrible appellation, de toi, je n’accepterais de conseil que sur les débilités de la bouteille. Domaine où tu sembles te prévaloir, devant les demoiselles de la foire. Qui compense leurs occiputs, par la taille de leurs attributs. Car seule une pauvre donzelle pourra supporter tes bagatelles! Donc, mieux vaut un homme bourru à cette pauvre femme de bahut. Je pourrais affirmer notre aptitude à l'union avec certitude, contrairement à ta poulette qui ne verra point ta pendulette. termina-t-il avec un sourire fourbe

Les serpents à ses pieds avaient disparut on ne sait trop où sous les tables et les chaises, alors que son visage effectuait quelque tic, semblant retenir quelque chose. Il prit une grande inspiration, puis expulsa l'air amassé avant de continuer, toujours le même sourire au visage.

- Je pourrais longtemps continuer de cette façon, car j'ai tout mon temps, et je vous en cache la raison.

Puis, il se tourna, s'asseyant autour d'une table non-loin de la femme-guerrière, un pichet et un verre dans chacune de ses mains. Il les déposa sur la surface de bois et prit sa gourde pour la porté à ses lèvres, pressant le sac de peau et le relâchant  d'un geste sec avant de descendre son verre d'eau fraîchement versé. Cette envolé lyrique semblait lui avoir donner plus soif que de raison.

Aelia, après un moment de silence, se leverait, un peu tannée, et irait se prendre une nouvelle choppe de bière au comptoir de la taverne. Sans un mot, elle se mettrait à boire, laissant les autres possiblement continuer à s'insulter.